Premiers habitants : les pygmées.

Vinrent ensuite les Bantous, puis les groupes ethniques de type soudanais qui migraient vers les forêts tropical

es pourfuirent les marchands d'esclaves (moitié du 18ème siècle).

Au 19ème siècle, le Centrafrique n'échappa malheureusement pas, à l'esclavage, qui fut un désastre dans le pays.

(Le pays compte plus de 80 ethnies actuellement, parlant chacune une langue différente)

1885 : début de la colonisation.

26 juin 1889 : Fondation du 1er poste (ville) français(e), appelé Bangui.

1905 : création du territoire de l'Oubanguichari.

1910 : création de l'Afrique Equatoriale française avec le Congo, le Gabon et le Tchad.

1er décembre 1958 : L'Oubanguichari devient république Centrafricaine.

13 août 1960 : Indépendance.

Espérance de vie : 39,4 ans,

Part de la population ayant moins de 15 ans : 43,1 %,

Taux d'alphabétisation (15 ans et plus) : 48, 6 %,

Religions : Animisme, Christianisme, Islam,

Indice de développement humain : 172ème sur 177 pays,

Part de la population vivant avec moins de 1$/jour : 66,6%.

Les gens désireux d'entreprendre un voyage au Centrafrique pourront arborés différents domaines comme :

Les chutes : de Boali, de la Kotto et de M'béko.

Les sources thermales : "Dissikou" à Dékoua, de Nzako, de "Grévaï Paméa" à Kaga-Gandoro.

Les grottes : à Ouada, dans le Lobaye, le "Haut Mbommou Magaïro" à Bouar.

D’immenses ressources naturelles surplombent le pays, à commencer par :

-Au Sud la forêt dense,

-Au Nord, la savane,

-Au centre la savane boisée qui est dominante des paysages Centrafricain.

Le climat tropical domine l'essentiel du pays avec une saison humide de mai à octobre et une saison sèche de novembre à avril pouvant aller de 8 à 9 mois.

Température moyenne annuelle : 26° C

                    maximum : 38° C à Bangui

                    minimum : 15° C

On dénombre plusieurs cours d'eau qui affluent dans tous le pays : 

Logone, l'Ouham, le Chari qui coule au Nord vers le Tchad et l'Oubangui qui quant-à lui s'écoule au Sud pour atteindre le bassin du Congo.

Les débits impressionnants qu'engendre la saison des pluies offre de nombreuses inondations des affluant.

Des forêts en pleine expansion ! 

Et oui.. De gros efforts d'aménagement et de protection des forêts sont en effet engagés durablement, avec pour objectif d'éviter l'érosion, de protéger la faune et de préserver cette richesse rare qu'est la grande forêt centrafricaine. Depuis maintenant 30 ans, le gouvernement s'efforce de préservé la santé de sa forêt et ça marche ! 30 années on suffit pour que celle-ci puisse gagner sur la savane. La déforestation surveiller, s'attache seulement pour les paysans qui nécessitent d'un habitat à renouveler ou à construire.

Diversité ?  De la végétation et de la faune !

Ayant la chance de posséder plusieurs types de paysages, sa biodiversité ne peu être plus que comblé ! Riche et variée, la nature des espèces dépendent de la flore présente en ces lieux. Presque toutes les espèces Africaine y sont abritées : 

-éléphants, élans de derby, grands koudous, bongos, buffles de forêt et de savane, chimpanzés, crocodiles, hippopotames…et même quelques gorilles qui arborent la forêt tropicale.

On dénombre de nombreux parcs et réserves, mais nous retiendront les plus célèbres :

-Tout au Nord : le parc national Manovo-Gounda Saint-Floris  (d'une superficie de 17.400 m2). Les plus aventureux y trouveront de nombreux mammifères et peut-être auront il la chance de croiser le regard d'un magnifique rhinocéros noir...

-Au Sud-Ouest : Dzanga-Ndoki parc nationale (d'une superficie de 1.220 m2) ou on y dénichera des perroquets du gabon appeler aussi "Gris du gabon" célèbre comme étant domestiqué par l'homme et beau parleur... 

Possédant une forte potentialité en ressources naturelles, la RCA (République Centrafricaine) a du mal à décoller sur le plan économique, faute de structures de production et de moyens conséquents.

Pays en voie de développement, la République Centrafricaine est un pays à vocation agricole : 

Plus de 80 % de la population vit de l'agriculture ; mais pratique l'auto consommation.

 Les progrès de l'agriculture profitant qu'aux grandes exploitations, les paysans ne possèdent aucun moyens de mécanisation.

Conséquences : limite les quantités et la qualités de productions agricoles (qui est suceptible de beaucoup plus être infecté par des parasites et bactéries, qu'une entreprise agricole qui possède un suivis de culture) pour soutenir les activités de transformation.

Coton, Café, tabac, canne à sucre, palmier à l'huile, bananes, maïs et manioc sont les principales cultures industrielles.

Le cheptel considéré comme une forme de richesse, l'élevage constitue donc un secteur important de l'économie : bovins, ovins, caprins et volailles... apporte une source de nourriture enrichissante.

Forêt riche en essences !

Bois tropicaux en tous genre... la forêt tropical constitue une importante ressource : elle renferme plus de 200 essences (bois) dont le sapelli, l'ayous, l'iroko, le mulungu, le sipo, tiama, difou, doussié... qui contribue largement au PIB. Les plus précieuses seront exportées à l'étranger.

Un immense potentiel minier !

Diamants, or, uranium, fer, zinc, lignite, calcaire et cuivre ; représente la richesse des sols du pays.

 Cependant, la gestion du secteur minier pose de sérieux problèmes. Le secteur minier centrafricain, est en effet caractérisé par une production artisanale de diamants et d’or de très bonne qualité mais en petite quantité. On peu noté que seules les entreprises étrangères délocalisés profitent de ces richesses, au dépend des citoyens du pays.

Cela exprime un pays complètement ralentis par son surendettement. 

De plus, le taux d’accès à l’électricité (à se jour) n’est que de 3% ; et on assiste  à une vétusté des installations électriques, des délestages, une faiblesse de production de l’énergie électrique dans tous le pays.

 Pour finir, Le secteur de transport joue un rôle très important dans le développement économique d’un pays. Ainsi, l’enclavement intérieur et extérieur du pays, la dégradation des réseaux routiers, la faiblesse du parc automobile  national, l’inexistence de voie ferrée ; l’inexistence d’un cours d’eau praticable toute l’année ; l’inexistence des moyens de transports aériens constituent des handicaps majeurs pour le transport Centrafricain et pose un réel problème du point de vue économique.

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